Cri de détresse: empathie et liberté

Confinement, civisme et liberté humaine

Protégeons-nous… Protégez-vous…

Ignorance quasi-totale sur le Corona-COVID 19

C’est pourtant clair: on ne sait pas. Personne ne sait. Pas même les scientifiques, les chercheurs, les biologistes, les médecins, les virologues, les épidémiologistes. Personne ne sait comment ce nouveau virus va évoluer, ou même s’il va définitivement disparaitre après cet épisode ou encore revenir sous une autre forme. Par conséquent, il faut prendre les devants et être raisonnable, le devenir, le rester, apprendre à l’être. Mot d’ordre et sagesse: le confinement pour une meilleure « distanciation sociale ».

Des mesures à prendre et à suivre résolument

Pas d’élections, plus de sorties en grands groupe, pas de proximité individuelle hors famille réduite, respect total des règles et au-delà, sobriété dans les achats, se diriger vers les marchés, vers les courses en ligne, garder les jeunes en lien avec leur éducation et leurs apprentissages. Ne pas paniquer, ne pas faire de catastrophisme. Dans le doute ou l’ignorance, on s’abstient et c’est cette règle prioritaire qui prévaut. Pas de proximité sociale, plus de rassemblements amicaux ou de réunions familiales. Il faut en prendre son parti, la santé publique avant tout.

Ma liberté et celle des Autres

« La liberté doit s’arrêter là où celle des Autres commence » citation de John Stuart Mill, absolument limpide.

Il est clair et évident que le collectif doit prendre le pas sur l’individuel, les deux étant étroitement liés. « Si tu prends en compte le bien-être de l’autre, qu’il te soit proche ou non, tu le fais pour lui et pour toi. Tu te dois de le faire. » C’est une question de santé publique, rien à redire à ce sujet. Si telle sont les actes civiques à tenir, on ne doit pas y déroger.

Empathie et bienveillance

On peut nommer cette attitude empathie, bienveillance, altruisme… mais prendre soin de l’autre appartient à l’essence même de l’être humain, je veux le croire. Ma vie en est imprégnée, c’est l’essence même de mon ADN. Et je le clame sans prétention aucune.

Et la citation de John Stuart Mill : « La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres » prend tout son sens. N’attendons pas les cris de détresse des soignants…

V. Béatrice Pierrel

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