
La façon de voir et de traiter nos »vieux » est révélatrice de notre société. Ces personnes qui ont peiné pour nous, nos parents, nos grands-parents, nos ancêtres, nos aïeuls doivent garder leur véritable place. Ce poème leur est dédié.
Envie de solitude et de paix, de guérir, Envie de mentir et de dire enfin : je vis comme vous, je ne souffre plus. Envie de bras autour de moi qui m’enlacent Envie de jambes mêlées aux miennes, sans tricher ; dire…
Amoureuse de lui… pourquoi pas ? Et si cela devait aller plus loin… mais pour où? Il n’y a pas de loin ; il y a aujourd’hui ; serais-je encore là demain? Seul, l’instant compte… Pas facile à dompter… comment faire pour…