L’Arena, la nouvelle salle de concert bordelaise, sur les rails…
Deux gros points communs entre le concert de Depeche Mode, de mercredi 24 janvier 2018 et le concert de Charles Aznavour (94 ans en mai), samedi 27 janvier 2018.
D’abord (et ce n’est pas le moindre des paramètres pour ceux qui attendaient l’événement), le soleil était au rendez-vous. On aurait presque pu croire que cette météo exceptionnelle avait été commandée par les fans et les organisateurs. D’autant plus que les semaines précédant ces deux premiers concerts, la météo avait été exécrable.
D’autre part, il s’agissait de deux artistes d’espèces « en voie d’espérance de survie » de la chanson et de la musique.
Les premiers, Depeche Mode, groupe internationalement connu et adulé par des personnes, âgés d’une cinquantaine d’années et ayant dansé sur leurs chansons dans les années 80, représentent toute une génération d’ex-ados.
Le second est à lui seul, LA chanson française. Il symbolise une certaine valeur (et une valeur certaine) de la France (musiques, paroles…), plus sage et plus traditionnelle et néanmoins emplie d’émotions.
Les abords de la nouvelle salle de Bordeaux-Floirac, l’Arena, se sont trouvés totalement métamorphosés selon l’artiste invité: foule et attente de plusieurs dizaines d’heures pour certains, de plusieurs heures pour la plupart des spectateurs venus pour le groupe Depeche Mode et pour l’inauguration de la salle bordelaise Arena, le mercredi.
L’esplanade de l’Arena était beaucoup plus sage, voire déserte quelques heures avant le concert.
Les avis divergent quant à l’utilisation et le nombre de places de parking aux alentours et à leur efficacité…
A suivre pour les prochains concerts à venir.
Valérie Doulevant