Aujourd’hui 10 octobre, est la journée de la santé mentale.
Photo: Valérie Doulevant (Népal 1992)
Mais on le sait bien que le monde est fou! On fait ce qu’on peut, avec le sourire…
Il y a des personnes qui aujourd’hui font ce qu’on appelle communément un « burn-out ».
Soit.
Que veut dire ce terme en réalité?
Ras-le-bol
Bien souvent, ces personnes subissent des agressions au sein de leur vie en général (de leur travail, de leur entourage). C’est une overdose d’injustices ressenties, en plus d’une grande fatigue morale, physique… Comment faire avant qu’il ne survienne?
Mieux vaut prévenir que guérir, cet adage a toute sa place quand on sent venir le surmenage. Direction: les médecins, qui eux-même statueront sur l’état réel de leur patients. A défaut de les soigner, ils sauront les conseiller, leur prodiguer des conseils avisés.
Et là, on ne peut pas dire que ces consultations agrandiront « le trou de la sécu » parce qu’elles auront anticipé l’explosion finale… Crise de nerfs, tentatives de suicides, et à moindre mesure, dépression, déprime, vague à l’âme, tristesse soudaine ou euphorie.
Les asiles et autres hôpitaux psychiatriques n’en seront que soulagés.
Par conséquent et en prévention, mieux vaut rire de tout, piquer un bon fou rire est une des solutions. On le sait bien « qu’un bon rire vaut un bon beefsteak! »
Valérie Doulevant
